Claude Graham-White ::: http://fandavion.free.fr

Les frères Wright détestaient la vue de Claude Grahame-White. Il n'était pas seulement Sourire narquois-même de l'Anglais indéniablement beau qui a agacé les frères. C'était sa démarche, son style de vie et son amour de l'auto-publicité. Ce qui a vraiment conduit Wilbur et Orville fous, c'est qu'à leurs yeux, Grahame-White était un charlatan, un homme qui ne savait rien de l'aéronautique, sauf que c' était un bon moyen de faire de l'argent rapide.

Quant à Grahame-White, il a vu les frères Wright comme une paire d'intrigants qui méritait des éloges pour leur invention, et le mépris pour la façon dont ils ont déposé plainte contre chaque autre constructeur de l'avion. Les Wrights ont donné l'aviation au monde en 1903, mais Graham-White serait donner au monde ce qu'il voulait de divertissement maintenant.

Il a d'abord traversé le chemin des Wrights à l'été 1908. Wilbur était en Europe pour montrer aux sceptiques leur invention, et l'Anglais bouche ouverte parmi la foule au Camp d'Auvours en France. Après avoir été présenté à Wright suite de la manifestation, Grahame-White a décrit comme une «ascétique, décharnée américaine avec attentif, les yeux de faucon."

À l'âge de 29, Grahame-White est retourné en Angleterre déterminé à voler. Jusque-là, ses sensations étaient venus de voitures et de bateaux (deux dont il se servait pour impressionner ses nombreux amis de dame), mais maintenant son attention tournée à l'aviation. Il a ordonné une machine de l'usine de Louis Blériot en France et se appris à voler. Les nouvelles qu'il avait mis en solo, sans une seule leçon a reçu une large couverture, qui lui a fait réaliser le potentiel de l'aviation pour atteindre la célébrité instantanée. Il a embauché un agent de presse au début de 1910 et lui a ordonné "pour circulariser l'ensemble de la presse britannique et étrangère de donner les vols [mes] toute publicité."

Bientôt Grahame-White était l'un des visages les plus connus en Europe. aviation rencontre faisaient fureur , et chaque promoteur en ville voulait que son événement à honoré avec le fringant Grahame-White. Voici, enfin, était un artiste charismatique, différent des tracts au visage sinistre qui étaient plus de scientifiques que les forains. King Edward VII a demandé une démonstration privée de la machine volante, mais mourut avant Grahame-White pourrait obliger. Au lieu de l'aviateur a parcouru le pays de rencontre, la collecte de plus de $ 75 000 (équivalent à environ $ 1,200,000 aujourd'hui) au prix et l'apparence de l'argent.

Les exploits de Grahame-Blanc ne est pas passée inaperçue dans les États. Aviation répond ramassaient en popularité, et quand JV Martin de la Harvard Aeronautical Society est venu en Europe à l'été 1910 à la recherche aviateurs de rivaliser dans le Boston-Harvard Rencontrer, le nom en haut de sa liste de souhaits était Claude Grahame-White . Il a obtenu son homme avec la promesse d'une retenue $ 50,000 et tous frais payés.

Grahame-White est arrivé à Boston le 1er Septembre à un quai bordé avec des journalistes et des fans. Un journaliste, Phoebe Dwight, a averti les menfolk de Boston d'être sur leurs gardes se ils prenaient leurs bien-aimées à l'airshow: "Car, avant que vous le savez ces cœurs peuvent être flottant le long à la queue d'un avion dans lequel se trouve un jeune homme audacieux et spectaculaire . qui a remporté le titre de l'idole de matinée de la Field Aviation-Claude Grahame-White "la prédiction de Dwight a été sur la cible: À la fin des femmes de Boston Harvard Rencontrez tombaient sur eux-mêmes de prendre un court trajet avec le célèbre aviateur. L'Anglais, dont l'amour de l'argent était aussi ardent que son amour de la gent féminine, facturé 500 $ pour un vol de cinq minutes.

Mais Grahame-White ne était pas en Amérique juste pour arracher l'argent et de sensations fortes les filles. Il était aussi un concurrent, l'intention de gagner des courses contre d'autres aviateurs. À Boston il a affirmé l'événement bleu de ruban, la course de 33 mile de l'aérodrome de Boston Light (à Boston Harbor), pour lequel il a remporté $ 10,000.

Cet exploit lui porté à l'attention du Président Taft, qui a assisté à la rencontre un jour en plaisantant, mais a refusé de mettre son propre cadre de 250 livres dans une machine volante. Le maire de Boston, John Fitzgerald (grand-père de JFK), ont fait accepter une invitation à voler avec Grahame-White, cependant, et plus tard lui a remis une médaille d'argent tasse d'amour sur lequel était inscrit: "De Boston amis, dans l'admiration de vos compétences et l'esprit sportif comme un aviateur ".

De Boston, Grahame-White a continué à Belmont Park à New York à concourir pour la Grande-Bretagne dans la Coupe de l'aviation internationale, qui l'américain Glenn Curtiss avait gagné l'année précédente en France. Avec Curtiss absence cette fois-ci, les espoirs américains reposaient avec le jeune Walter Brookins dans un biplan Wright. Un autre Américain, l'intrépide John Moisant, a également été prévu pour bien faire, mais ni eux ni Alfred Leblanc de la France pourrait empêcher un triomphe Grahame-White dans son Blériot.

Grahame-White est resté dans les États d'un mois, se prélassant sous les projecteurs et courtiser jolie Pauline Chase, l'une des actrices les plus célèbres du pays. Puis, peu de temps avant il devait partir pour l'Angleterre, il a été cité à comparaître devant un juge de la cour de circuit. Les Wright avaient déposé une plainte, accusant Grahame-White de violer leurs brevets. Les frères ont demandé un compte rendu complet de ses gains en Amérique, chaque cent du $ 82,000 qu'il avait gagné.

Grahame-White ignoré la citation et se glissa hors des États sur un bateau plus tôt, en riant aux journalistes de retour en Angleterre que «les frères Wright ont peur. Je les ai peur, si bien que sanglante qu'ils sont terrifiés. Je suis leur concurrent le plus redoutable et ils le savent ".

Deux semaines plus tard, le 18 Décembre, Grahame-White a été grièvement blessé la poursuite d'un prix de 20.000 $ pour le plus long vol sans escale de l'Angleterre vers le continent européen. Ce est alors qu'il se trouvait dans un lit d'hôpital qu'il pesait ses chances de survivre à une telle profession dangereuse. A peine un mois se passa sans autre aviateur tombant du ciel, et il semblait juste une question de temps avant sa propre chance a manqué. Il a donc quitté le vol compétitif et labouré son argent dans la création de la Grahame-White Aviation Company et premier aérodrome de Londres à Hendon. Quelques années plus tard, il a vendu l'aérodrome au gouvernement britannique pour plus de $ 1,000,000.

Grahame-White est mort à l'été 1959 à l'âge de 79 l'un des derniers survivants de l'époque des pionniers de l'aviation. Alors qu'il ne avait jamais eu l'esprit inventif des Wrights ou la vision de Glenn Curtiss, son rôle dans l'aviation début était néanmoins important. Grahame-White a obtenu le Joe ordinaire intéressé par l'aéronautique, et a contribué à idéaliser une entreprise dominée par les ingénieurs. En bref, pour utiliser un mot moderne, il a fait l'aviation sexy.

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