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- Junkers Ju 390 - |
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Junkers Ju 390 Le Junkers Ju 390 était un avion allemand destiné à être utilisé comme moyen de transport lourde, des avions de patrouille maritime, et à long terme kamikaze, un dérivé de longue portée de la Ju 290. Il était l'un de l'avion (avec le Messerschmitt Me 264 et Focke-Wulf Ta 400) soumis pour le projet avorté Bomber Amerika. Histoire Deux prototypes ont été créés en attachant une paire supplémentaire de centre-aile segments sur les ailes de base Ju 90 et Ju 290 cellules, et en ajoutant de nouvelles sections d'allonger les fuselages. Le premier prototype, le V1, (roulement Stammkennzeichen code de GH + Royaume-Uni), a été modifiée à partir d'une cellule Junkers Ju 90V6 (nombre werke J4918, l'état civil D-AOKD) à partir de Juillet 1940 to Avril 1941, puis à la Luftwaffe que KH + XC, à partir de Avril 1941 à Avril 1942, puis retourné à Junkers Ju et utilisés pour la construction 390 V1). Il a fait son vol inaugural le 20 Octobre 1943 et obtenu de bons résultats, ce qui entraîne une commande pour 26 appareils, pour être désigné Ju 390 A-1. Aucun d'entre eux ont effectivement construit par le temps que le projet a été annulé (avec Ju 290 de la production) à la mi-1944. Le deuxième prototype, le V2 (RC + DA), a été plus longue que la V1, car il a été construit à partir d'un Ju 290 cellule (en utilisant le fuselage de Ju 290A1 werke nombre J900155). La reconnaissance maritime et les versions de bombardiers à longue portée devait être désigné le Ju 390 B et 390 C Ju, respectivement. Il a été suggéré que le kamikaze aurait pu procéder le Messerschmitt Me 328 chasseur parasite pour l'auto-défense, et quelques vols d'essai sont soupçonnés d'avoir été effectuée par un Ju 390 prototype équipé de l'anti-expédition PC 1400 Fritz X bombe guidée de descente. Le V1 a été construit et assemblé en grande partie à l'usine Junkers à Dessau, en Allemagne, et le premier vol d'essai a eu lieu le 20 Octobre 1943. Sa performance a été assez satisfaisant que le ministère de l'Air a ordonné 26 en plus des deux prototypes. Toutefois, les contrats pour le 390s 26 Ju ont été annulés en Juin 1944 et tous les travaux ont cessé en Septembre de cette année. Le 26 Novembre 1943, le 390V1 Ju - avec de nombreux nouveaux avions d'autres prototypes et - a été montré à Adolf Hitler au Insterburg, la Prusse orientale. Selon l'ancien journal de bord Junkers essai pilote Hans-Joachim Pancherz ', le 390V1 Ju a été porté à Prague aussitôt après qu'il avait été affiché au Insterburg, et alors qu'il a pris part à un certain nombre de vols d'essai, qui a continué jusqu'à ce que Mars 1944, y compris les tests de en vol de ravitaillement. Le 390V1 Ju a été retourné à Dessau en Novembre 1944, où il a été dépouillées de leurs pièces et finalement détruit à la fin Avril 1945, l'armée américaine approchait. Le Ju 390 V2 a été assemblé à Bernburg, a été son premier vol en Octobre 1943, et l'on dit avoir été configuré pour le rôle de reconnaissance maritime. Son fuselage avait été prolongé de 2,5 m (8,2 pi), et il a été équipé d'FuG ASV 200 Hohentwiel (Air navire de surface) radar et d'armement défensif composé de cinq à 20 mm MG 151/20 canons. Certaines sources noter armement différent, spécifiquement quatre 20 mm MG 151/20 et trois 13 mm MG 131 mitrailleuses. Le pilote d'essai Oberleutnant Eisermann a noté dans son journal de bord qu'il a volé le prototype V2 (RC + DA) aussi tard que Février 1945. Toutefois, Kössler et de l'état Ott que le 390V2 Ju ne fut achevée au cours de Juin 1944, avec des essais en vol commençant à la fin de Septembre 1944. Le travail de conception a été réalisée sur une version bombardier de reconnaissance de l'avion. Un intérêt considérable a été affiché dans cet avion ultra-longue portée par le Groupe impériale japonaise Armée de l'Air. À l'automne de 1944, le gouvernement japonais a acquis une licence de fabrication pour le Ju 390A-1. Dans le cadre du contrat de licence, de fabrication détaillées devaient être remis au représentant de l'armée impériale japonaise, le major-général Otani, par Février 28, 1945. Il n'ya aucune trace de cette partie de l'accord ayant été remplies. Pas de référence peut être trouvée à ce Major Otani général mentionné par les historiens russes, décrypte toutefois ULTRA de signaux diplomatiques de l'ambassade du Japon à Berlin au sujet du voyage du sous-marin japonais I-52 se réfèrent à un Kotani général en Allemagne nécessitant le passage de retour dans le cadre de transport de retour au Japon. Ces mêmes signaux se référer à d'autres passagers avec une priorité plus élevée.
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Fan d'avions © 16 Mai, 2001