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- Zeppelin LZ.104 - |
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LZ.104 Zeppelin (L59)
Unité: inconnu
Serial: inconnu
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Zeppelin LZ.104 Le Ballon Dirigeable Zeppelin LZ.104 était un ballon dirigeable de la première guerre mondiale. Histoire Le Zeppelin LZ 104 (numéro de construction, désigné L 59 par la Marine impériale allemande) et surnommé Das Afrika-Schiff ("The Ship Afrique»), était un dirigeable allemand Première Guerre mondiale, célèbre pour tenter une mission de ravitaillement à longue distance de la garnison assiégée de la colonie Allemande de l'Afrique de l'Est. Le L 59 était un dirigeable naval qui servait a réapprovisionner les troupes du Generalmajor Paul von Lettow-Vorbeck. Le 4 Novembre 1917, après un vol de 29 heures de Friedrichshafen sous le commandement de Hugo Eckener, le dirigeable est arrivé à Yambol (Jamboli) en Bulgarie, la dernière base aérienne disponible avant de voler plus de deux mille miles à travers l'Afrique méditerranéenne Au Jamboli Kapitänleutnant [Capitaine de corvette] Ludwig Bockholt, un officier de marine allemande régulière, a rencontré le zeppelin. Il serait commandant de la mission, le nom de code Chine Sache, traduit librement par "China Show" ou "La Chine Matter." Parce que ce serait impossible de réapprovisionner le dirigeable avec du gaz hydrogène à son arrivée en Afrique, il a été décidé qu'aucune voyage de retour serait faite. Au lieu de cela, il était prévu que chaque partie du navire être cannibalisé pour une utilisation par l'armée de brousse Lettow-Vorbeck. L'enveloppe extérieure serait utilisé pour les tentes, garnitures de mousseline deviendraient bandages, le cadre en duralumin serait utilisé pour les tours sans fil, et ainsi de suite. En plus de sa propre structure, L 59 réalisé 15 tonnes de fournitures. La cargaison comprenait des mitrailleuses et des munitions ainsi que les rechanges, de la nourriture, des fournitures médicales, une équipe médicale et des médailles de la Croix de Fer. Deux tentatives initiales de 59 L à commencer le voyage ont été déjoués par les conditions météorologiques en Méditerranée, mais le 21 Novembre 1917 son troisième départ a été un succès. Le navire a fait bon temps sur Andrinople, la mer de Marmara et de la côte de l'Asie Mineure. Toutefois, en raison des tempêtes électriques plus de Crète, l'antenne sans fil a été enroulé dans et ainsi le navire n'a pas réussi à recevoir des messages de l'amirauté allemande. Elle a traversé la côte africaine, à 05h15 le 22 Novembre, près de Mersa Matrouh, et voler à travers l'oasis de Dakhla a mis un cours dog-leg le Nil Cet après-midi, un moteur mal fonctionné quand un boîtier d'engrenage de réduction fissuré. la perte de ce moteur a éliminé la perspective de transmission radio, même si les messages sans fil pourraient être reçues. Le lendemain matin, elle a failli se écraser lorsque la turbulence de la chaleur des dunes dessous et refroidissement ultérieur réduit la flottabilité de son gaz. L'équipage a également souffert de maux de tête, des hallucinations et une fatigue générale dans la chaleur en milieu de journée et un froid glacial la nuit. Malgré ces difficultés, L 59 a continué sur le Soudan, seulement pour être refoulé le 23 Novembre, avec le navire 125 miles (201 km) à l'ouest de Khartoum, quand elle a reçu un message "annuler". [2] L'équipage de L 59 du bénévolat implora le commandant de continuer, mais il a ordonné le navire se retourna et revint en Bulgarie après éviter une autre catastrophe potentielle due à une perte de flottabilité sur l'Asie Mineure. Elle est revenue à fonder la matinée du 25 Novembre 1917, après avoir parcouru plus de 4200 miles (6800 km) en 95 heures, soit près de quatre jours dans l'air. Quand elle a piqué du nez dans son hangar à Jamboli, le Zeppelin avait suffisamment de carburant pour un autre vol de 64 heures. De nombreuses années se écoulèrent avant son vol de record a été dépassé. Il a ensuite été revendiqué par Richard Meinertzhagen, le chef du renseignement britannique dans la région basée au Caire, que le message de rappel indiquant que Lettow-Vorbeck avait cédé a été truquée. Les Britanniques, après avoir cassé le code sans fil de la marine allemande, étaient au courant du vol et de la mission. Royal Flying Corps (RFC) les escadrons de Afrique de l'Est ont été alertés à surveiller l'approche du navire. Cependant, ce qui se est le dos de dirigeable était un signal relayé de Lettow-Vorbeck. Le signal faible a été amplifié et transmis par les stations dans les territoires amies ou neutres, et après quelques heures, il a atteint le commandement naval allemand. Le siège de signal informée pas que Lettow se étaient rendus, mais que le Schutztruppe avaient été incapables de tenir les plaines autour de Mahenge, la destination prévue du dirigeable, et avaient été forcés par l'artillerie britannique à retirer dans les montagnes déchiquetées où le dirigeable ne aurait aucune chance de toucher le sol sans risquer une explosion. Avec aucun espoir d'un endroit pour atterrir en toute sécurité et avec toutes les chances de son train d'être détruit ou de tomber dans des mains ennemies, le commandement allemand ne avait pas d'autre choix que d'ordonner un retour. Le signal de rappel a été envoyé à partir de la station de l'Amirauté à Nauen. En dépit de son échec, "l'aventure de L 59 a été héroïque à la fois à l'échelle et de l'esprit." Plus tard, une transcription du message radio a été signalé avoir été trouvé dans les archives de l'Allemagne Guerre mondiale, ainsi que d'une interception sans fil turco-allemande (marqué «secret») conservés dans les dossiers de l'Office public britannique Records. Depuis ne était pas prévu le dirigeable de revenir de sa mission en Afrique, pas de plans pour d'autres missions avaient été faites. Un autre vol africaine était hors de question, de sorte que le navire a ensuite été offert pour les vols de fournir l'armée ottomane d'Enver Pacha en Arabie, ou pour rechercher des mines au large Constantinople, mais rien ne est venu de ces propositions. Après plusieurs vols de reconnaissance et des missions de bombardement, L 59 a décollé de Jamboli d'attaquer la base navale britannique à Malte, de procéder dans les Balkans au détroit d'Otrante. Dans la soirée du 7 Avril 1918, le sous-marin allemand UB-53 surface observé le dirigeable approche dans son sillage. Son commandant, Oberleutnant zur Voir Robert Sprenger, a signalé qu'il regardait voler passé à environ 210 m (700 pi), de sorte "à proximité, en fait, que les détails de la télécabine pourraient être vus clairement." Quelques minutes plus tard, Sprenger a noté deux salves en l'air, et peu après "une flamme gigantesque enveloppé le dirigeable et il a piqué du nez dans l'eau." La destruction du dirigeable n'a pas été réclamé par les Britanniques ou les Italiens; sa perte a été officiellement attribuée à un accident. Aucun de l'équipage 21 survécu à l'accident. Le dirigeable et sa mission de ravitaillement à longue distance a été présenté dans Les Fantômes de l'Afrique, un roman historique de 1980 d'origine britannique romancier canadien William Stevenson fixés pendant la campagne Afrique de l'Est. Le protagoniste de O Olho de Hertzog, un roman 2010 par João Paulo Borges Coelho, mis en post-Première Guerre mondiale au Mozambique, en Afrique arrive en sautant du dirigeable dans un parachute. Le Wilbur Smith roman Assegai a éléments de l'intrigue inspirées par le voyage des dirigeables.
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Fan d'avions © 16 Mai, 2001